Jimmy Butler : ceux qui ne le supportent pas sont des « perdants »

Jimmy Butler et Draymond Green se sont apprivoisés. Dans son podcast, ce dernier explique pourquoi selon lui son nouveau coéquipier a pu en agacer certains.

Jimmy Butler : ceux qui ne le supportent pas sont des « perdants »

Draymond Green aime déjà beaucoup Jimmy Butler et c'est une bonne nouvelle pour les Warriors. On se demandait comment les deux forts caractères allaient connecter après le trade de Butler en provenance de Miami.

Sur le plan sportif, c'est déjà très bon, puisque Golden State reste sur trois victoires de suite et a bon espoir de continuer à remonter la pente pour se mêler à la lutte pour la qualification directe en playoffs. En dehors du terrain, Green et Butler ont déjà pu s'apprivoiser, tout en restant parfaitement naturels et fidèles à eux-mêmes.

Draymond a même évoqué, dans son podcast, qu'il avait rapidement compris comment son nouveau coéquipier pouvait agacer certaines personnes.

"Jimmy est quelqu'un qui va venir te voir pour te prévenir que quelque chose va se produire. Il anticipe. Il te dit : si ça arrive, on va faire ça. En toute honnêteté, je comprends de quelle manière les gens peuvent en avoir marre de lui. Si tu n'es pas un malade de basket, que tu n'aimes pas vraiment ce jeu et que tu te retrouves avec quelqu'un comme Jimmy qui communique sur tout, met les points sur les i et les barres sur les t... Les perdants vont être frustrés par ça. [...] Si tu n'es pas un gagnant, tu peux te frustrer. En deux ou trois semaines, j'ai compris ça avec Jimmy. C'est parce que la plupart des gens ne sont pas des gagnants".

Les fans des Warriors doivent maintenant espérer que cette belle entente perdure. Avec Stephen Curry à nouveau tranchant et un collectif qui tourne bien, Golden State a des arguments très intéressants pour être l'une des équipes les plus menaçantes dans le sprint final et peut-être en playoffs dans la Conférence Ouest.

L’épisode de « The Office » sur le basket me fait toujours autant rire

Et la marmotte toussa toussa...
Répondre
OSZAR »